Thursday, December 13, 2007

Liberalisation du commerce MONDIALE :


Travailler en France,et pour la FRANCE...????? moi je dis STOP !!!Par moments, je songe vraiment à changer de pays...

Pour info :
Tripler sa retraite : à la SNCF, c'est possible
Continuer de bosser après sa retraite semble l’activité tendance du moment. Nous l’avions évoqué dans un édito il y a quelques jours, mais voilà qu’une révélation lui donne une toute autre ampleur depuis ce matin. Le Figaro du jour nous apprend en effet que la SNCF proposerait depuis 2002 à certains de ses agents retraités de reprendre du service sous la forme de missions à l’étranger. A priori, la proposition n’a rien de sulfureux. Sauf que l’établissement public aurait jugé utile, pour inciter ses ex-salariés touchant déjà une pension mensuelle de 2 000 euros, de tripler la mise. Or, selon la loi française, le cumul-emploi retraite est limité. Il ne doit pas dépasser la moyenne mensuelle des trois derniers salaires à la fin de l’activité, ou 160% du Smic. A la SNCF, pourtant, le tour de magie aurait été possible pour 45 agents. Ceux–ci auraient été payés par une société de portage salariale off-shore (Rail Road Consultants Ltd, la bien nommée) basée dans le paradis fiscal de l’Ile de Man. De cette manière, les agents étaient salariés dans ce joli coin de la Mer d’Irlande et échappaient à la loi hexagonale. Immoral, mais pas forcément illégal.




Et nombre d'entreprises doivent attendre avec impatience l'issu de cette affaire pour la SNCF. Cae cette « solution » n’a rien d’inédit. Elle est même couramment utilisée par d’autres secteurs comme le sport ou la communication via des sociétés de portage salarial ayant pignon sur rue dans les Iles anglo-normandes ou en Angleterre. Et elle ne sert pas seulement à contourner la législation limitant le cumul retraite-emploi, mais surtout à économiser des charges salariales, comme en témoigne Jean-Pierre. A 45 ans, il est rédacteur publicitaire, salarié d’un magazine spécialisé français : « Il m’arrive de travailler ponctuellement pour des entreprises. Je leur rédige des plaquettes ou des dossiers de presse. Mais elles ne veulent pas me payer en salaire car les charges seraient trop lourdes selon elles. Je ne peux pas non plus me faire payer sur facture car je n'ai pas monté de société. Si j’en passait par une société de portage en France pour me faire payer, elle me prélèverait 50% de mes gains, alors qu’une agence off-shore ponctionne seulement entre 10 et 20% de charges. Il n’y a pas photo. » Evidemment, à Man ou à Londres, les charges en question ne permettent pas de profiter d’une quelconque couverture sociale. Mais Jean-Pierre disposant d’un statut de salarié en France, il est parfaitement couvert. Comme le sont les retraités de la SNCF.

Autre cas ou LA FRANCE(son gouvernement)a vendu a une societe Offshore... un (ex)porte avion:

Retiré de la flotte de guerre en 1997 le porte avion «Clemenceau» est une épave ... En 2005, il confia le navire à une société offshore, la SDI de Panama, ...

ALORS MOI LE FISC.......JE LUI DIS -!!!- PENSE A NETTOYER DEVANT TA PORTE AVANT DE NOUS -!!!-

Si le cote chic Londonien d un beau quartier,et d une rue "chic celebre"vous interesse,direction... 29 Harley Street, London c est un centre de domiciliation ;-)